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Yseult

Yseult, la marque liégeoise colorée et sans chichi

À 29 ans, la styliste Perrine Bourguignon vient de lancer sa deuxième collection de vêtements. Sa marque, Yseult, est colorée, fun et confortable. Rencontre avec une jeune liégeoise ambitieuse.

Créative, Perrine a toujours eu dans un coin de sa tête l’envie de lancer sa propre marque. C’est durant l’été 2019 qu’elle décide de sauter le pas, après avoir étudié le stylisme à l’HELMO et travaillé dans la vente de prêt-à-porter. Pour sa première collection, elle a tout fait de A à Z : les dessins, la couture, les patrons, etc. Puis, confinement oblige, elle a dû mettre ses projets sur pause au printemps 2020.

Colorée et durable

YseultUn imprévu qui ne l’a pas empêchée de créer et de dévoiler, au début du mois d’avril, sa deuxième collection « Just a Girl », en clin d’œil à la chanson de No Doubt.

« Elle est faite par une femme, pour les femmes qui ont envie de s’éclater sans se sentir jugées et qui s’habillent comme elles le souhaitent », explique Perrine.

Cerise sur le gâteau : en plus d’être colorée et peps, cette collection est aussi durable. « Elle a été faite avec des tissus dormants, des fins de stock et certains sont éco-responsables. J’ai fonctionné au coup de cœur. Je n’avais jamais tenté cette manière de procéder et je suis contente du résultat. C’était un réel challenge » se réjouit la jeune Liégeoise.

Simplicité

YseultSi on devait résumer le style d’Yseult, on le qualifierait d’intemporel et sans chichi. « Les coupes sont simples, tout est dans le détail, avec la finition des poignets par exemple. À côté de ça, la capsule comporte quelques pièces à l’ADN plus fort et affirmant d’autant plus l’univers d’Yseult. »

Toutes les pièces sont en vente sur l’eshop de la marque et Perrine cherche actuellement des points de vente où distribuer ses pièces. Avis aux magasins amateurs…

Plus d’infos :

Yseult

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Enfant, Marie écrivait des histoires dans l’espoir d’un jour publier un livre. Depuis, elle n’a pas perdu sa passion pour l’écriture et est devenue journaliste. Durant ses études à l’IHECS, elle quittait la capitale tous les week-ends pour rentrer à Liège. Même si elle a la bougeotte, impossible de couper le cordon avec sa ville d’amour. D’ailleurs, à ses yeux, il n’y a pas d’endroit plus convivial que le Carré pour festoyer.