Boulettes Magazine

Alors que s’achève le premier mois de l’année 2016, l’heure est au bilan chez Boulettes à la Liégeoise. Vous êtes de plus en plus nombreuses et nombreux à nous lire, à nous confier vos bons plans et à nous encourager à continuer ce qu’on fait. Ce blog, c’est avant tout team de rédactrices/ photographes/ gribouilleuses/ chipoteuses de tout poil, certes. Mais c’est aussi & surtout grâce à vous qu’on continue de fureter dans la Cité Ardente à la recherche de lieux toujours plus chouettes et de personnalités toujours plus cool. Comme pas mal de blogs, on s’est demandé ce que vous aviez préféré voir ici pendant l’année écoulée.

Quels sont les articles qui vous ont le plus plu sur Boulette à la Liégeoise en 2015 ?

«  (…) l’herbe n’est pas plus verte ailleurs et que foi de Boulettes, Liège aussi vaut le détour. Et comme nous on aurait plutôt tendance à ne croire que ce qu’on voit, on a décidé de préparer un petit guide pour le prouver. Que vous soyez en train de préparer un citytrip dans notre belle Cité, un week-end à Liège, ou que vous soyez tout simplement à la recherche d’endroits sympas pour s’évader sans quitter le 4000 : suivez-nous, on vous emmène à la découverte de notre ville ! »  

Deuxième gros succès, la compilation des restos et snacks où manger végé et pas trop cher à Liège. Vu que manger non carné n’est pas un effet de mode momentané, et qu’on a reçu tout plein de suggestions d’autres lieux à tester, quelque chose nous dit qu’un update de l’article ne saurait trop tarder…

«  Si les établissements végétariens, voire vegan commencent à fleurir un peu partout dans les grandes villes, force est de constater que Liège est malheureusement à la traîne… Il faut dire qu’entre les boulets-frites et la salade liégeoise, les spécialités gastronomiques de la cité ardente ne font pas forcément la part belle aux options végé. Ci-dessous, nos meilleures adresses liégeoises pour les petits budgets, et avec la garantie de plus d’un plat végétarien à la carte… parce que les végétariens ne mangent pas que des graines. »

Malgré d’éternelles prises de bec avec les étudiants pour cause de squattage (ben oui) de salle réservée aux guindailles, force est de constater qu’une flopée de Liégeois reste sensible au charme de ceux qui, comme on l’écrivait à l’époque, sont « non pas des voyous mais des artistes, de joyeux utopistes qui rêvent de créer un Liège meilleur à coup de soirées et de vélos réparés« .

«  Ici, pas de seringues et de vieux canapés défoncés. A mille lieues des clichés, le squat se veut être un véritable projet citoyen. Dans le paysage joyeusement chaotique de l’entrepôt, des caravanes sont disséminées: c’est là que dorment les membres du collectif. Au détour de l’une d’elles, surprise: on tombe nez-à-nez avec des dizaines de vélos… Bienvenue à l’atelier! » 

Pour plusieurs raisons, Kevin Bona fut résolument une des rencontres décisives de Boulettes à la Liégeoise… et ce, depuis la fameuse visite guidée de son ancien appart’ à tomber, en plein coeur de la Cité Ardente. On a mitraillé et on a adoré -et on a comme l’impression que ça vous a plu aussi.

«  Non seulement le co-fondateur du Label 5.9 est adorable, mais il a aussi su se créer un intérieur qui lui ressemble: éclectique, élégant… et carrément canon! La soirée s’était finie sur une promesse: celle de venir faire un photo-reportage chez lui pour vous faire rêver un peu aussi. Ce fut chose faite par une belle matinée d’août passée à bruncher, papoter… et à se pâmer sur sa déco.
Avertissement: cet article donne de grandes envies de changement! »

Aurélie William Levaux, c’est un peu l’un de nos plus gros coup de coeur. Quand on l’a rencontrée, on a pu confirmer: l’artiste est aussi cool que ses illustrations-broderies. Et depuis qu’elle actualise régulièrement sa page facebook, on a encore plus les pupilles qui scintillent.

«  Des galeries parisiennes aux pages du New-York Times, son travail s’exporte bien au-delà des frontières de la Cité ardente, et cela se comprend: à mi-chemin entre l’art brut et la propagande féministe, ses œuvres provoquent et interrogent le spectateur. Il y a quelques jours, on a eu le plaisir de la rencontrer et on s’est retrouvées face à un hybride de Catherine Deneuve et Debbie Harry à la langue bien pendue et aux éclats de rire contagieux. Pour le coup, on est un peu tombées amoureuses d’elle aussi – Éloge d’une artiste ardente. »