Ce « burunchi » japonais nous donne envie de foncer à Bruxelles
Ouverte il y a un an tout pile en plein centre de la capitale, l’enseigne Chou Sando décline depuis peu un concept délicieux: le burunchi, soit un brunch d’inspiration japonaise qui vient titiller les papilles et donne une excellente raison de mettre son réveil le week-end.
Repéré par Laura Swysen pour So Soir, le « burunchi » de Chou Sando, adresse spécialisée comme son nom le laisse deviner dans le sando, soit ce sandwich japonais ultra gourmand à base de généreuses tranches de pain de mie délicieusement garnies, a le mérite d’être pour le moins dépaysant. C’est qu’à de très rares exceptions près, depuis que le concept du brunch a débarqué dans nos contrées, il se décline majoritairement façon anglo-saxonne, entre lard croustillant, tours de pancakes et autres mimosas pour arroser tout ça, sans oublier une multitude d’avocat. Gourmand, certes, pour le moins roboratif aussi, mais au bout d’un moment, oserait-on le dire… Un peu (beaucoup) boring. Place au burunchi, donc, et à ses délices.
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Au menu? Trois formules sucrées-salées, détaillées par Anthony, le propriétaire de Chou Sando, à notre consoeur Laura. Soit, à la carte, le Tamago Kake Gohan, soit le brunch typiquement japonais, entre riz, poisson et algues, mais aussi la formule Shokupan, qui marie le tout de pâtes à tartiner au chocolat ou aux cacahuètes, pour la touche sucré-salé, à moins d’opter carrément pour l’option bec sucré, Sweet Hokkaido. Trois variations autour d’un même thème dont les prix varient, eux, entre 21.5 et 25 euros, et qui sont pour le moment à déguster chaque premier dimanche du mois chez Chou Sando. Dont le prochain burunchi, si vous comptez bien, se tiendra donc le 6 novembre prochain. À vos agendas, et surtout, à vos résas!
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Photo de couverture: DR Chou Sando.
