Boulettes Magazine

Le magazine gourmand de découvertes
TOP
10 situations que connaît chaque comitard liégeois - DR Boulettes Magazine

10 situations vécues par chaque comitard liégeois

Aaah être comitard… le rôle n’a pas vraiment la cote ces derniers temps, tandis que considérés comme trop excessifs dans leur déroulement, les baptêmes estudiantins filent un mauvais coton. Et pourtant, le baptême reste un rite de passage unique, qui marque les esprits de celles et ceux qui y prennent part.

Comités de baptême Barbou, Isepk, Philo et Lettres, Pharma, Isil, … qu’importe. Aucun comitard liégeois n’a pu échapper à l’une de ces dix situations, pour certaines plus cocasses que d’autres. Avis aux membres de ces corporations estudiantines : n’ayez pas honte, cela n’arrive pas qu’aux autres …

1) Arriver seul(e) à la première bleusaille et ressortir de cette expérience avec des amis pour la vie

Non, baptême ne rime pas uniquement avec humiliation. Sur un air de Calogero, beaucoup d’autres termes peuvent également le caractériser. Par exemple « rencontre », « ami », ou même, pour les plus chanceux, « famille ».

via GIPHY

2) La terrible rencontre avec le premier seau …

« Pourquoi je fais ça ? »

Certainement pas la meilleure partie du baptême estudiantin liégeois. Néanmoins, mieux vaut voir le côté positif et se souvenir de ce soulagement qui t’étreignait lorsque tu saisissais une poignée davantage remplie de choucroute que de pâtée pour chiens.

via GIPHY

3) Appréhender le célèbre dépucelage de penne

« Qu’importe ce que j’aurai sur ma tête, je veux cette penne ! ». Vomi, pipi, chope, … ? Rien ne paraît assez ignoble que pour empêcher chaque fraichement baptisé d’arborer dignement sa penne. Enfin, dignement .. Quand il aura nettoyé ce qui lui aura malheureusement coulé sur la tête, disons.

via GIPHY

4) Se sentir nu lorsque l’on sort sans ses oripeaux

Hein ? Une sortie sans oripeaux ? Y aurait-il une possibilité de finir la soirée sans puer autre chose que la transpiration due au fait d’avoir simplement trop dansé ? « Attendez, on va réellement pouvoir s’abreuver dans le Carré de manière potable ? ». Et d’ôter au passage à tous nos potes qui n’appartiennent pas au monde de la guindaille liégeoise de nous juger uniquement sur notre manière de danser et non sur notre accoutrement. Ah!

via GIPHY

5) Enchaîner les soirées jusqu’à en perdre la notion du temps

« Attendez, on a cours aujourd’hui ? Mais quel jour sommes-nous ? ». Une phrase récurrente dans le vocabulaire du bon comitard investi dans la guindaille.

via GIPHY

6) Finir victime de la célébrissime théorie de « l’Effet Toge »

Vous ne l’aviez jamais remarqué(e) et pourtant … Maintenant que ce comitard a troqué son ignoble tablard contre cette somptueuse toge de couleur, les phrases telles que « Il / elle n’est pas si mal en fait » fusent.  Aux charos et charasses, vous savez ce qu’il vous reste à faire !

via GIPHY

7) Faire preuve de consanguinité, une seconde théorie respectée à la lettre

Le baptême ca rapproche. Quelque fois un peu trop. « Non mais tu te rends pas compte, mon comité de baptême c’est ma famille ». Sauf qu’inévitablement, la question de la consanguinité se pose. Disons qu’on espère juste que les comitards n’entretiennent pas les mêmes relations avec les membres de leur « vraie » famille. Avis aux réalisateur de la célèbre série « Les feux de l’Amour », si vous manquez d’idées, inspirez-vous des comités baptêmes. Attention toutefois que ça risque d’être parfois un peu glauque.

via GIPHY

8) Voir un cobleu atteint du syndrome de Stockholm durant son baptême

Pour les novices en la matière, une petite clarification: le syndrome de Stockholm consiste en un phénomène psychologique lors duquel une victime développerait des sentiments affectueux pour son bourreau. Presque tout comitard a ainsi perçu durant son année de baptême, un étrange rapprochement entre un bleu et un togé. Gare aux manches coupées… (les vrais savent).

via GIPHY

9) Se rendre régulièrement chez Alpi afin de chercher des insignes que l’on a perdu dans la sauvagerie de la guindaille.

« Zut j’ai perdu ma poule ! »

via GIPHY

10) ♡ LA RACLETTE DU SOUPER BLEUS ♡

« Bleu(ette), dis-nous le menu ! ». La réponse à cette question semble pourtant tellement évidente. « Une raclette bien sûr ! ». Souvent la première de l’année, la raclette du souper reste un incontournable, pour chaque baptisé et tout comitard qui se respecte. Alerte spoiler : lorsqu’elle repasse dans l’autre sens, ça fait mal !

via GIPHY

Mais bon, y’a toujours moyen de reprendre une petite chope pour faire passer…

Lire aussi: 

 

 

 

Étudiante en Master en journalisme, cette jeune liégeoise poursuit sa formation en rejoignant la famille Boulettes Magazine. La lecture lui dévorant son temps libre, l’écriture finit par en faire de même. Membre de la team « faire des listes c’est la vie », son objectif s’inscrit dans l’une d’elles depuis quelques années déjà : consacrer sa plume à la dénonciation d’injustices en tout genre. Mais chaque chose en son temps, d’abord, place à l’apprentissage.