
9 infos insolites que vous ignoriez sur les célèbres violettes
Pour qui a grandi à Liège, les violettes Gicopa ont le goût de l’enfance: on les adorait ou on les détestait, mais il y avait toujours bien un grand-parent ou autre adulte bienveillant pour nous refiler ces chiques acidulées qu’il fallait patiemment suçoter. On l’avoue sans honte, à la rédaction, on est carrément accro à leur goût incomparable, et on a eu envie de percer le mystère de ces « véritables bonbons liégeois ».
Résultat: on a glané pas mal d’infos insolites au passage, et alors qu’on a dû à nous tous croquer des kilos de violettes, on a appris pas mal de secrets en prime. La preuve par 9.
1. La recette des violettes est un secret de famille
Fondée en 1895 par la famille Gillard, Gicopa était à l’origine une boulangerie, confiserie et chocolaterie, où les violettes ont été inventées.
2. Elles sont antioxydantes
Ou du moins, on peut l’espérer: la spiruline fait en effet partie des ingrédients utilisés pour leur donner leur jolie couleur…
3. Elles contiennent de la carotte
Tout comme la carotte!
4. Elles ont la cote en Amérique du Sud
Les violettes Gicopa sont vendues dans 4 pays: la Belgique, les Pays-Bas, l’Angleterre… et le Chili, où elles sont vendues dans la plus grande chaîne de supermarchés du pays. Ironie du sort: chez nous, elles ne figurent toujours pas dans les rayons de tous les supermarchés, et ne sont par exemple pas vendues chez Colruyt.
5. Elles pèsent dans le game
Plusieurs centaines de tonnes de violettes sont vendues chaque année…
6. Et 1,5 tonne de chiques est produite chaque jour par Gicopa
7. La préparation demande un peu de patience
Si aujourd’hui, le procédé est mécanisé, il demande tout de même une préparation minutieuse: compter 20 minutes entre le début de la cuisson et l’emballage en machine.
8. Pourquoi des violettes, au fait?
En hommage à la Violette de Liège, pardi! D’ailleurs, à chaque mariage civil liégeois, on reçoit un paquet de 100 grammes de violettes Gicopa.
9 Et « Gicopa »?
Ce nom correspond en réalité aux deux premières lettres du fondateur de la confiserie, Monsieur Gillard, qui y a ajouté le « co » de confiserie et le « pa » de pain d’épice.
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