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Les plaies de l'ULiège qui nous manquent - Unsplash

10 plaies de l’ULiège qui nous manquent

Depuis déjà bientôt un an, on peut visionner nos cours de l’ULiège en direct depuis notre chambre, en pyjama avec notre petit déjeuner, seulement 5 minutes après s’être réveillés. Chouette alors! Sauf qu’il faut bien se l’avouer, les cours en présentiel et tout ce qui va avec nous manquent.

Exit la pédagogie des professeurs, le contact humain et les jeudredis dans le Carré, et à force d’égrener les jours de ce (re)confinement qui n’en finit pas de tirer en longueur, on en finit même par regretter certaines plaies de l’ULiège.

1) La pression de rigoler des blagues (pas si drôles) des Professeurs

Celles-là mêmes que notre grand-père nous raconte déjà chaque dimanche, auxquelles on se force déjà de rire. Pas drôle aux repas de famille, encore moins à l’arrivée des examens.

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2) Cet étudiant qui confond son clavier d’ordinateur avec une machine à écrire

Vous savez, ce gars qui torture son ordi en tapant dessus comme s’il était à un cours de dactylo des années 80. Et c’est encore pire quand c’est à la bibliothèque…

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3) La galère pour trouver une place assise à la cafet’ de l’ULiège

Aller à la cafétéria bondée, slalomer entre les étudiants agglutinés en espérant pouvoir se dénicher LA bonne place pour déguster son boulet frites tant attendu. Ne jamais la trouver. Manger son boulet froid.

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4) Ce groupe d’étudiants qui squatte la bibli juste pour se raconter les derniers potins

Et il y en a toujours (au moins) un. OK, on aime quand même bien les potins nous aussi et même si on boude, on écoute les leurs en douce.

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5) Le cours obligatoire à 8h un lendemain de Chapi

Se rendre à l’unif a 8 heures du matin, un lendemain de Chapi, pour un cours obligatoire alors que tu ne sais même plus où t’habites et encore moins quelles études tu fais.

Bon pour le coup, c’est surtout le Chapi qui nous manque si on veut être honnête.

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6) Se tromper d’amphi et devoir traverser l’ULiège (et la ville) entière pour trouver le bon

Ah oups, c’était à l’Aquarium et pas au Sart Tilman… Hihi.

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7) « On ne fait pas de pause aujourd’hui mais on finira plus tôt »

On l’a tous connu ce prof qui nous fait cette belle proposition pour finalement nous libérer à 17h59 et 30 secondes à la place de 18h. Merci, grand prince.

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8) La fausse joie du prof en retard qu’on croyait absent

L’ascenseur émotionnel par excellence.

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9) Dépenser toute notre monnaie dans la machine à café

Et chaque année se dire qu’on va s’acheter enfin un thermo et économiser cette monnaie.

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10) Le prof qui parle plus de lui-même que de son cours

Pire que les blagues nulles, les détails mêmes pas croustillants de la vie privée de quelqu’un dont tu te contrefous de savoir ce qu’il ou elle a fait ce week-end.

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Et pourtant, qu’est-ce que tu donnerais pour l’entendre maintenant. Même en te faisant postillonner un peu dessus au premier rang.

Pitié, rendez-nous l’ULiège et on ne se plaindra plus jamais.

Enfin, au moins pendant une semaine.

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Passionnée de vintage, d’art et de mode Clara a d’abord choisi d’étudier le graphisme à Saint Luc. Afin de faire partager ses passions, c est en toute logique qu’elle s’est inscrite dans un master en information et communication à l’université de Liège, dans le cadre duquel elle effectue un stage à la rédaction de Boulettes Magazine.